Quelle assurance maladie choisir auto-entrepreneur ?

Quelle assurance maladie choisir auto-entrepreneur ?

Le régime d’auto-entrepreneur est concentré sur près de la moitié des start-ups. Ce chiffre est facile à comprendre en raison de la simplicité de l’alimentation. Les obligations de déclaration et de comptabilité du contractant seront considérablement réduites, tandis que les cotisations fiscales et de sécurité sociale seront inférieures à celles des autres entreprises. Néanmoins, le contractant continue d’être soumis à certaines formalités établies. Ils doivent déclarer leur chiffre d’affaires tous les mois ou tous les trimestres, déclarer ses revenus annuellement dans le cadre de l’impôt sur le revenu et remplir la déclaration initiale de CFE.

La déclaration du chiffre d’affaires de l’entrepreneur

Les auto-entrepreneurs relèvent du système microsocial. Elle est tenue de déclarer son chiffre d’affaires tous les mois ou tous les trimestres, tout en versant simultanément les cotisations de sécurité sociale dues.

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Le fonctionnement du régime microsocial

Le régime social de la L’auto-entrepreneur est appelé un régime microsocial. Il vise à simplifier la gestion administrative des micro-entrepreneurs et à réduire leurs charges.

Le système microsocial s’applique à condition que le chiffre d’affaires annuel ne dépasse pas :

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  • 170 000€ pour un magasin principal de vente de marchandises.
  • 70 000 euros pour une activité principale de prestation de services.

Le système microsocial répond à des principes simples :

Si le chiffre d’affaires est nul, aucune contribution sociale n’est due. Toutefois, l’explication demeure impérative. Entrez simplement « 0 » dans la boîte de vente.

Toutefois, il est possible de verser des cotisations sociales volontaires minimales pour bénéficier de la protection sociale.

L’explication du chiffre et le paiement des cotisations sociales sont également effectuées simultanément. Le contractant a immédiatement accès au montant des cotisations de sécurité sociale : à payer après le chiffre d’affaires perçu au cours de la période considérée. Ils peuvent choisir de les payer immédiatement par carte de crédit ou carte de débit à la date d’échéance.

Le revenu est finalement imposé sur une base forfaitaire. Cela signifie qu’un pourcentage fixe de l’impôt est appliqué aux revenus déclarés. Ce taux d’imposition varie en fonction du type et de la durée de service de l’activité. Des taux de cotisation sociale minorieux peuvent être appliqués en vertu de l’ACRE (voir ci-dessous).

Comment expliquer le chiffre d’affaires des auto-entrepreneurs ?

La déclaration du chiffre d’affaires de l’entrepreneur est faite en ligne, mensuelle ou trimestrielle. L’auto-entrepreneur décide de la périodicité qu’il préfère.

La périodicité des déclarations de recettes

La déclaration de vente de l’entrepreneur est faite mensuellement ou trimestriellement.

Le choix de l’une de ces périodes appartient à l’entrepreneur. Il peut exprimer son choix s’il déclare le début de l’activité professionnelle. En l’absence de choix, la périodicité est trimestrielle.

Bien que le choix d’un rapport trimestriel au début d’une activité puisse être plus facile, il ne convient pas à certaines situations.

Les demandeurs d’emploi sont tenus d’envoyer chaque mois une preuve de revenu à Pôle Emploi. L’option de déclaration trimestrielle peut retarder ou suspendre les paiements.

Le choix de la périodicité des déclarations, qui est valable pour une année civile, n’est pas immuable. Il est possible de soumettre une demande de changement de périodicité à l’URSSAF avant le 31 janvier. Toutes les demandes présentées après le 31 janvier seront traitées pour l’année suivante.

Données des déclarations de vente

Les données du rapport des ventes varient en fonction de la fréquence sélectionnée.

Les données mensuelles Rendements À intervalles mensuels, l’entrepreneur doit déclarer le chiffre d’affaires réalisé au cours du mois précédent avant la fin du mois suivant. Elle doit donc faire 12 déclarations par an.

Par exemple, l’entrepreneur doit déclarer les revenus générés en février avant le 31 mars.

Date des déclarations trimestrielles À intervalles trimestriels, le contractant doit déclarer le chiffre d’affaires réalisé au cours du trimestre précédent avant la fin du mois suivant. Elle doit donc faire quatre déclarations à partir de l’année.

Les périodes d’abonnement sont donc prolongées, mais le contractant ne dispose que d’un mois pour faire sa déclaration.

Par exemple, l’entrepreneur doit déclarer les revenus au premier trimestre civil (janvier, février et mars) avant le 30 avril.

Déclarer les ventes de l’entrepreneur en ligne

Depuis 2019, la déclaration du chiffre d’affaires de l’entrepreneur en ligne est obligatoire.

Même s’il était auparavant possible de déclarer ses revenus sur les entreprises nettes, ce n’est plus le cas pour le moment. Tous les auto-entrepreneurs, à la fois anciens et nouveaux, devront aller à l’entrepreneuriat.Urssaf. Les anciens identifiants Net-Entreprises peuvent être utilisés sur le site web de l’URSSAF.

Les revenus à déclarer sont les revenus réels reçus, exprimés sans impôt. Les factures qui n’ont pas été précédemment facturées ne sont donc pas prises en compte.

La déclaration est obligatoire, même si le chiffre d’affaires est nul pendant la période. À l’heure actuelle, il est possible de verser des cotisations minimales (voir ci-dessous).

Les cotisations sociales sont calculées automatiquement à la fin de la déclaration de vente. L’entrepreneur peut choisir de les payer immédiatement par carte de crédit ou décider des frais de licenciement à la date d’échéance (le dernier jour du mois de déclaration).

En cas de retard ou de non-notification l’entrepreneur est passible de pénalités pécuniaires. Cela commence par une amende de 50 euros par déclaration de temps de décation. Des sanctions pécuniaires plus graves peuvent être imposées si l’infraction se poursuit au fil du temps.

Déclaration du chiffre d’affaires de l’entrepreneur : le montant des cotisations sociales

Il n’y a pas de taux unique de cotisation de sécurité sociale pour le contractant. Tout dépend de son activité, ainsi que des avantages potentiels d’ACRE.

Les taux de cotisation de sécurité sociale du contractant

Tous les entrepreneurs ne paient pas le même montant de cotisations de sécurité sociale.

Le taux d’imposition varie en fonction de l’activité effectuée. Elle s’applique aux opérations hors taxes, à l’exclusion d’un montant forfaitaire pour les dépenses ou de la déduction des honoraires sur le réel.

Le taux est de 12,8 % pour les ventes de biens. Il y a 22 pour cent pour la fourniture de les services et les activités libérales.

Si plus d’une activité est exercée, le chiffre d’affaires doit être ventilé en fonction de chaque type de service.

En plus de ces taux, la contribution à la formation professionnelle (de 0,1 à 0,3 %) et les taxes sur les honoraires des chambres consulaires en cas d’activités commerciales ou artisanales sont incluses.

Les auto-entrepreneurs qui ont opté pour l’impôt de libération IR paieront simultanément leur impôt sur le revenu. Le taux d’imposition varie de 1 à 2,2 %, selon le type d’activité.

Taux de cotisation sociale ACRE minororisés

L’entrepreneur indépendant peut être temporairement soumis à une cotisation de sécurité sociale de la part des minorités. C’est le cas lorsqu’il bénéficie d’ACRE ou du CCRE.

ACRE signifie aide à la création ou à la prise en charge d’une entreprise.

L’ACRE pour les micro-entreprises est une exception partielle à la Cotisations de sécurité sociale pour trois ans. Au cours de cette période, le taux d’imposition augmente progressivement au cours des trimestres. Après trois ans, les peines de common law s’appliquent.

ACRE a remplacé le CCRE le 1er janvier 2019. Le CCRE prévoyait la même exonération partielle de l’impôt sur la sécurité sociale, mais elle était réservée à certaines catégories d’entrepreneurs : demandeurs d’emploi, jeunes…

Encore une fois, le taux des cotisations de sécurité sociale varie selon le type d’activité.

Dans le cas des ventes de biens, il est de 3,2 % au cours des quatre premiers trimestres d’activité. Il est ensuite passé à 6,4 % la deuxième année et à 9,5% la troisième année.

Le taux de cotisation à la sécurité sociale pour la prestation de services est de 5,5 % au cours des quatre premiers trimestres de l’emploi. Il est ensuite passé à 11 % la deuxième année et à 16,5 % la troisième année.

À quoi servent les impôts salariaux de l’auto-entrepreneur ?

Les frais de sécurité sociale du contractant permettent de financer sa sécurité sociale. De cette façon, il peut valider les droits à pension.

Financement de la protection sociale des entrepreneurs

Les cotisations sociales de l’entrepreneur lui procurent une sécurité sociale pour les différents risques de la vie.

Répartition des cotisations sociales du contractant

Les cotisations de sécurité sociale versées par le contractant sont diverses. Ils comprennent :

  • CSG et CRDS.
  • La contribution à l’assurance maladie et maternité.
  • Cotisations de base et cotisations complémentaires de retraite.
  • La contribution à l’assurance invalidité et décès.
  • Contribution aux allocations familiales

Le paiement de ces cotisations de sécurité sociale permet à l’entrepreneur de bénéficier de la sécurité sociale pour les risques de la vie : maladie, maternité, Âge, handicap…

De cette façon, l’entrepreneur peut recevoir une allocation journalière en cas de maladie, valider des quartiers pour ses droits à pension, allocations familiales ou prestations de maternité et de paternité à la naissance ou à l’adoption.

Toutefois, les cotisations sociales et les cotisations offertes au contractant sont généralement moins favorables que celles du salarié.

Ainsi, l’auto-entrepreneur ne contribue pas au chômage. Impossible pour lui de recevoir une compensation de Pôle Emploi à la fin de son activité indépendante.

Le calcul des droits à pension est également moins favorable (voir ci-dessous).

Paiement des cotisations minimales de sécurité sociale

Les cotisations sociales et les cotisations ne sont dues que si le chiffre d’affaires de l’entrepreneur est positif. Dans le cas contraire, aucune contribution ne sera versée.

Cependant, il est possible de verser des cotisations sociales minimales. Cela permet à l’entrepreneur aucune recette pour certaines périodes d’admissibilité pour certains services.

Le paiement des cotisations minimales peut ainsi vous permettre de valider les droits à pension et de recevoir des allocations journalières en cas de maladie.

Effectuer les droits à pension de l’entrepreneur

En tant qu’employés, les auto-entrepreneurs contribuent chaque année à la retraite. Cependant, il y a une différence de taille. Le contractant doit réaliser un chiffre d’affaires minimal pour valider son quartier.

Quel fonds de pension pour l’entrepreneur ?

L’institution sociale compétente dépend du type d’activité exercée.

Si l’entrepreneur indépendant est un commerçant, un artisan ou une profession libérale non réglementée, il acquiert des droits de sécurité sociale pour les indépendants.

Si l’auto-entrepreneur est dans une profession libérale réglementée, il tombe ou vous sous le cipav.

C’est l’URSSAF qui, lors de la création de l’activité, fait partie de la sécurité sociale des indépendants ou du Cipav. Il n’y a pas d’approche particulière à adopter.

Validation des droits à pension de l’entrepreneur

Les droits à pension du contractant dépendent du montant des cotisations sociales versées, tant en termes de pension de base que de pension complémentaire.

Par conséquent, des montants minimaux de roulement sont disponibles pour valider les trimestres d’assurance retraite. Ces seuils minimaux dépendent de l’activité effectuée.

Par exemple, pour valider un trimestre en 2019, le chiffre d’affaires minimum varie de 2 246€ à 4 1 37€, selon l’activité. Les seuils sont réévalués annuellement.

Revenu des auto-entrepreneurs : la déclaration d’impôt sur le revenu

L’entrepreneur est assujetti au système de microcontrôle. Comment les employés il doit présenter la déclaration annuelle des revenus. La retenue à la source s’applique, sauf en tant qu’option d’exonération fiscale pour le RI.

Le fonctionnement du système de microcontrôle

Le contractant fait rapport sur MicroBIC ou MicroBNC en fonction de son activité. Toutefois, les conditions d’imposition varient selon qu’il a choisi ou non la taxe d’exonération pour l’IR.

Les règles du système de microcontrôle

L’entrepreneur est un professionnel de l’impôt sur le revenu. En fonction de son activité, il identifie soit :

  • De la catégorie des bénéfices industriels et commerciaux (BIC) pour les activités commerciales ou artisanales.
  • De la catégorie des prix non commerciaux (NBC) dans les activités libérales.

Il est également soumis au nom du régime de microcontrôle : micro-BIC ou micro-BNC.

Comment le système microsocial est-il soumis aux avantages du système de microcontrôle les seuils de chiffre d’affaires. Pour en bénéficier, le chiffre d’affaires du contractant ne peut dépasser :

  • 170 000€ pour une activité de vente.
  • 70 000 EUR pour une activité de service.

Le système de microcontrôle est un système fiscal simplifié. Cela permet de réduire la charge administrative sur l’auto-entrepreneur, tout en lui fournissant un système fiscal avantageux.

Dans les microentreprises, il existe deux types d’imposition : la méthode conventionnelle de taxation et l’option d’exonération fiscale pour les IR.

Le choix est laissé à l’entrepreneur, sous réserve des conditions de revenu. En l’absence de choix, le régime est un Mikrotax classique.

Les auto-entrepreneurs dans le régime de microtaxe classique

L’auto-entrepreneur dans un système de microtaxe classique, qui est, sans option pour l’impôt d’exemption sur la IR, est soumis à l’approvisionnement à la source.

Fonctionnement du système de microcontrôle conventionnel Dans le cadre du régime conventionnel de microtaxation, le chiffre d’affaires annuel hors taxes du contractant est soumis à une aide aux coûts :

  • 71 % pour les activités de vente.
  • 50 % pour la prestation de services commerciaux ou artisanaux.
  • 34 % pour les autres services et les activités libérales.

Aucun frais ne peut être déduit au réel.

Suite à l’application de l’allocation forfaitaire, le chiffre d’affaires annuel est ajouté aux autres revenus de l’assiette fiscale : revenus de la propriété, salaires, pensions, plus-values…

La fiscalité est alors globale. Tous ces revenus totaux sont assujettis au régime d’impôt sur le revenu.

Débit source depuis 2019 L’arrivée du prélèvement à la source a quelque peu perturbé le fonctionnement du système de microcontrôle.

Cependant, seul le Les modalités de débit ont été modifiées. Le calcul et le montant de l’impôt sur le revenu restent les mêmes. La désignation reste en place.

Depuis le 1er janvier 2019, l’entrepreneur paie son impôt sur le revenu chaque mois par prélèvement automatique de son compte bancaire. Nous parlons de tarifs contemporains. Ils sont calculés sur la base de leurs ventes de l’année précédente.

Si l’activité de l’entrepreneur est nouvelle, l’administration ne sera pas encore en mesure de calculer les paiements anticipés. Ensuite, il y a deux options. L’entrepreneur peut estimer son chiffre d’affaires pour la première année, et donc commencer à payer des paiements. Sinon, il devra attendre l’année suivante et en même temps payer ses impôts N-1 et N.

L’arrivée de la taxe à la source n’exonère pas l’entrepreneur de déclarer son chiffre d’affaires dans la déclaration fiscale annuelle. La seule différence est que le paiement d’impôt n’a pas lieu à la fin de l’année N 1, mais tous les mois de l’année.

Option de paiement forfaitaire et auto-entrepreneur

L’auto-entrepreneur peut formuler une option de paiement forfaitaire. Veillez à ne pas confondre ce régime avec le paiement social ! Il existe également une « exonération de l’impôt sur le revenu des particuliers ».

Fonctionnement du paiement forfaitaire Cette option permet à l’entrepreneur de payer son impôt sur le revenu en même temps que ses cotisations sociales. Le paiement a lieu tous les mois ou trimestriels.

Le paiement est appelé « libératoire ». Cela signifie qu’une fois les cotisations de sécurité sociale versées, le contractant ne connaît pas de régularisation ou de remboursement. Le paiement est définitif.

Un entrepreneur qui a choisi de libérer l’impôt sur le RI, qui n’est normalement pas imposable, paie alors l’impôt sur le revenu, bien qu’il ne l’ait normalement pas payé. Il ne peut pas plus tard Remboursement reçu.

Le travailleur indépendant qui a opté pour la taxe forfaitaire n’est pas exonéré de déclarer son chiffre d’affaires dans la déclaration fiscale annuelle.

Toutefois, il n’est pas assujetti au prélèvement à la source, car le rendement mensuel ou trimestriel permet déjà d’éliminer l’année de différence entre la perception du revenu et son imposition.

Conditions de paiement exonérant la somme forfaitaire L’option pour le paiement de la libération est conditionnelle pour éviter un manque à gagner pour l’État.

Pour en bénéficier, deux plafonds doivent être respectés cumulativement.

  • La première limite est une limite de chiffre d’affaires. La taxe d’exonération sur le RI est susceptible d’être appliquée si les seuils du système de microimposition ne sont pas dépassés : 170 000 euros ou 70 000 euros.
  • La deuxième limite est une limite de revenu d’impô. que Le revenu fiscal de référence (RFR) dans N-2 ne doit pas dépasser un certain montant par action du conservateur familial.

Il y a donc un retard de deux ans.

  • La limite supérieure pour 2019 est de 27 086 euros par action de l’entreprise familiale. Il est réévalué chaque année.
  • Ce montant est augmenté de 50% par demi-action supplémentaire et de 25% par trimestre d’action supplémentaire.

Si l’une de ces deux conditions n’est plus remplie pendant la durée de vie de l’entreprise, l’entrepreneur passe automatiquement et irrémédiablement à un système de microcontrôle conventionnel.

L’octroi de la décharge forfaitaire est également subordonné à des formalités et à des délais.

Pour en bénéficier, vous devez choisir explicitement l’institution sociale appropriée. L’activité exercée est commercialement ou artisanale, la sécurité sociale du Travailleurs indépendants compétents. Dans le cas d’une activité libérale, vous devez contacter l’URSSAF.

L’option de paiement de libération est possible tout au long de la vie de l’entreprise.

L’hypothèse la plus courante est l’option lors de la création de l’activité, directement dans le formulaire d’inscription en tant qu’entrepreneur.

Il est également possible de décider plus tard. Dans ce cas, l’entrepreneur a jusqu’au 30 septembre de chaque année pour décider. La modification entrera en vigueur au début de l’année suivante.

Le montant de la taxe d’exonération sur la RI Le taux d’imposition varie en fonction du type d’activité effectuée. Il provient de :

  • 1 % pour la vente de biens, l’hébergement et la vente de biens à assurer ou à emporter.
  • 1,7 % pour les services liés aux bénéfices industriels et commerciaux (c’est-à-dire commerciaux ou artisanaux).
  • 2,2 % pour les autres services et les activités libérales.

Ce taux s’applique au montant des recettes effectivement perçues en franchise d’impôt. Aucune allocation n’est prévue.

Comment remplir la déclaration annuelle de revenus ?

Le contractant est tenu, en plus de la déclaration globale des revenus 2042, de joindre une déclaration complémentaire pour les professions indépendantes : Formulaire 2042 — C-PRO. Cela lui permet d’expliquer son revenu d’auto-entrepreneur.

Toutefois, la déclaration de revenus est produite différemment selon la méthode d’imposition de l’entrepreneur.

La déclaration de revenus de l’entrepreneur indépendant dans un système conventionnel

L’entrepreneur doit inscrire le montant de son chiffre d’affaires annuel ou brut dans la déclaration fiscale 2042 — C PRO.

Attention : Le montant à déclarer est le montant de la Revenus bruts sans aucune compensation. L’administration calcule elle-même l’allocation.

Seuls les reçus reçus doivent être déclarés. Les paiements non reçus sur le compte bancaire du contractant au 31 décembre ne seront pas pris en compte.

Le revenu doit se faire dans les domaines du « Revenu professionnel industriel et commercial » ou du « revenu professionnel non commercial », selon le type d’activité.

La déclaration d’impôt de l’auto-entrepreneur en paiement forfaitaire

La taxe de libération des IR n’exonère pas l’auto-représentant de remplir la déclaration de 2042 — C-PRO. En particulier, ces données sont utilisées pour calculer le taux d’imposition des ménages en relation avec la retenue à la source.

Le revenu doit être déclaré dans la section « Entrepreneur autonome qui a décidé de libérer l’impôt sur le revenu ».

Explications sur Entrepreneurs : Première déclaration de CFE

La première déclaration de Land Assessment by CFE Enterprises est l’une des déclarations de l’auto-entrepreneur. Ce dernier, comme les autres catégories de travailleurs indépendants, est effectivement soumis à cette taxe annuelle.

Responsabilité de l’entrepreneur envers le CFE

La CFE Business Assessment est une taxe locale dont le montant dépend de la valeur locative des locaux de l’entrepreneur.

Définition de la CFE

En plus de la contribution à la valeur ajoutée des entreprises (ACC), l’EPC est l’une des deux composantes de la contribution économique territoriale (TEC).

Il s’agit d’une taxe locale payée par des entreprises ou des personnes qui exercent normalement une activité professionnelle indépendante. Votre statut juridique ou votre système fiscal est indifférent.

La CFE est fondée sur la valeur locative d’un bien immobilier assujetti à l’impôt foncier et assujetti à l’impôt foncier. Entreprises utilisées dans le cadre de ses activités : bureaux, magasins…

Si l’activité se trouve sur le lieu de résidence, une contribution minimale est due. Cela dépend du chiffre d’affaires de l’entreprise et des tarifs établis par les autorités locales.

Cas d’exemption de la CFE

Les auto-entrepreneurs doivent payer la contribution foncière aux mêmes conditions que les autres entrepreneurs.

Cependant, certains experts sont exemptés des CFE. C’est le cas sous certaines conditions, notamment pour les agriculteurs, les sportifs et les artisans.

En dehors de ces cas, il y a deux cas d’exemption de la CFE  :

  • La première est l’exception des CFE pour la première année civile de l’exercice. La CFE est due par les entreprises qui font des affaires au début de l’année d’imposition.
  • La deuxième est l’exemption de CFE pour les entreprises dont le chiffre d’affaires annuel n’excède pas 5 000 Euros. Cette dérogation est récente. Il a été établi par la loi de finances 2019.

L’utilité de l’explication originale de CFE

Afin d’être admissible à l’exemption de CFE pour le premier exercice financier, le contractant doit présenter une première déclaration de CFE avant le 31 décembre suivant le début de ses activités.

Cette déclaration 1447-C-SD est obligatoire même si les ventes sont nulles.

Aucune explication n’est requise dans les années suivantes. La déclaration de revenus est fournie dans le domaine professionnel. Il ne sera pas envoyé par la poste.

La mutuelle santé pour autoentrepreneur est-elle obligatoire ?

Si les différentes formalités administratives et fiscales ci-dessus sont obligatoires pour un autoentrepreneur, la souscription d’une mutuelle santé ne l’est pas. Cependant, elle est recommandée pour couvrir des frais médicaux qui ne peuvent pas être pris en charge par la sécurité sociale. Ainsi, chaque autoentrepreneur, en fonction de la nature de l’activité exercée dans son entreprise, peut juger de quelle complémentaire santé il a besoin :

  • Si l’activité menée par le travailleur indépendant dans sa micro entreprise est son emploi principal, alors, il est indispensable que ce dernier opte pour une complémentaire santé individuelle pour autoentrepreneur. Cette dernière lui accordera la couverture nécessaire en cas de maladie, d’accident, de soins dentaires…
  • Si l’activité menée par l’auto entrepreneur est un emploi secondaire, donc s’il s’agit d’un job effectué pour générer des revenus complémentaires, ce dernier devra opter pour une mutuelle qui convient à son activité principale.

Il faut cependant préciser que la mutuelle d’entreprise est obligatoire pour tout salarié.

En effet, un autoentrepreneur peut souscrire à une complémentaire santé de deux façons. Premièrement, il peut souscrire à un contrat de mutuelle santé individuelle pour autoentrepreneur. Cette garantie est proposée par la plupart des organismes d’assurance physiques ou en ligne. Pour obtenir un contrat à un meilleur tarif, le travailleur indépendant devra utiliser un simulateur en ligne, ou demander un devis auprès de plusieurs prestataires, pour choisir la meilleure offre après comparaison.

La seconde possibilité est de devenir un ayant droit sur le contrat d’assurance de son conjoint. En effet, il est permis aux conjoints mariés ou pacsés d’adhérer à la mutuelle santé d’entreprise de leur partenaire salarié. Cette dernière formule présente de nombreux avantages notamment le fait que le conjoint indépendant puisse profiter de la couverture minimale offerte à tous les salariés de la structure. En plus de cela, certains employeurs paient une partie de la cotisation du conjoint indépendant.