Lorsque l’on est entrepreneur, nous prenons des risques : c’est la base du métier. En effet, si le projet auquel nous croyons ne fonctionne pas, nous perdons tout, et il est obligatoire de repartir de zéro par la suite. C’est pourquoi, si vous devez travailler avec d’autres entreprises, il faut s’assurer de leur sérieux. Il existe de multiples points à vérifier, et nous allons vous les présenter, comme par exemple : comment trouver le numéro de TVA Intracommunautaire. Explications.
Les aspects à vérifier chez une entreprise partenaire.
Si vous devez travailler avec une entreprise partenaire, il ne suffit pas d’apprécier la décoration chic de ses bureaux, vous devez en premier lieu vérifier leur numéro de SIRET. C’est en effet l’élément le plus important : donné par les autorités Françaises, c’est le numéro qui identifie chaque entreprise. En s’assurant d’un numéro de SIRET (ou SIREN, les deux sont liés), vous vous assurez que l’entreprise est bien déclarée auprès de l’administration. Ensuite, vient le numéro de TVA que vous devrez vérifier. Attention cependant, toutes les entreprises n’en ont pas : par exemple les auto-entrepreneurs en sont exemptés en dessous d’un certain chiffre d’affaires (qui évolue chaque année).
A voir aussi : Quels types de cartes de visites choisir ?
Aussi, vous pouvez regarder du côté du capital social de l’entreprise. Celui-ci donne une indication de la solidité financière d’une entreprise, mais cela ne reste qu’une indication. Cependant, vous pouvez toujours y jeter un œil. Enfin, il est possible de vérifier le chiffre d’affaires des années précédentes : cela vous permet de voir le volume de travail réalisé ces dernières années.
Toutes ces informations sont facilement accessibles via internet en faisant une recherche. Si vous avez le numéro de SIRET, vous retrouvez facilement le reste, même s’il faudra parfois payer pour avoir toutes ces informations. Cependant, ce n’est qu’un petit investissement si par la suite vous pouvez travailler de manière régulière avec ce nouveau partenaire 😉
A lire également : Quels prologiciels utiliser pour son entreprise ?